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ANNÉE 2008 Formation de responsables rurales ATELIER RÉGIONAL
PROJET
Formation
de responsables Rurales La Formation a commencé à 8: 30 heures dans la province à Bellavista le 24 Janvier de cette année, dans l'auditorium de l'Institut Publique Supérieur de Bellavista, avec une allocution de bienvenue du Directeur régional Huapaya Ivan Torres. Ont été également mis en place des recommandations et des normes de vie en commun pour le respect des lieux et l'engagement que doit prendre chacun des participants. A été rappelé l'objectif de la formation, d’où on attend que chaque zone assume les engagements acquis au cours des ateliers de formation offerts par le projet, et que chacun des membres puisse connaître la réalité des différentes communautés qui sont présentes. Au cours de la réunion à laquelle ont participé 30 jeunes de la zone de Bellavista (Dos Unidos, Huingoyacu, Huacho, Mercedes, Bellavista) et de la zone de Saint-Martin (Utcurarca, Machungo et Sauce) Avec les contributions de jeunes ont été créées 10 règles de la coexistence, qui se compose de règles ou de normes que les jeunes doivent accomplir au cours de l'atelier.
CULTURE
ORGANISATIONNELLE “INTER CULTURALITÉ”
(Patricia Rivera – JARC – SAN MARTIN) Introduction On
a commencé par demander combien de communautés sont présentes, ensuite par
groupe de deux en échangeant pour se connaître, chacun devra décrire son
compagnon, après avoir échangé des renseignements personnels et les coutumes
de sa communauté. Je
ne suis pas ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... Le but de la lecture de ce poème est de clarifier la distinction entre le multiculturalisme et l'inter culturalisme, ce qui me semble important de faire pour les conséquences que peut avoir une politique comme celle que développent actuellement les organismes internationaux liés aux Nations Unies - la Banque mondiale ou la Banque interaméricaine de développement - étroitement liés au modèle multiculturel, qui s'applique dans les pays du nord, en particulier aux États-Unis, qui peut être dangereuse pour les cas du Pérou parce que elle ne se rapporte pas à notre réalité, beaucoup plus proche d'un inter culturalité comme exprimée dans le poème Octavio Paz. Le problème se produit lorsque dans cette interaction entre les identités, les relations de pouvoir qui les traversent, sont inégales, lorsque l'interaction entre le maillon le plus faible et le plus puissant lorsque le regard des autres est le plus souvent négatif, de haine, de mépris, ce qui, malheureusement, est l'une des pierres angulaires de notre situation nationale. Il génère ensuite toutes sortes de problèmes qui sont exprimés, par exemple dans l'éducation. Ici, je veux pointer un aspect qui a à voir avec la façon dont la culture est conçue à l'école. Lorsque l'enseignant et, en général, lorsque l'État tente de reconnaître la diversité, quand il veut l'incorporer dans son projet de développement, cela reste au niveau folklorique. Je crois que réduire la culture est très appauvrissant et le pire, c'est que non seulement se folklorise la culture, mais que le folklore n’a même pas été pas collecté. Quand les enseignants tentent de promouvoir nos expressions folkloriques, ils inventent une chorégraphie très influencée par ce qu'ils voient à la télévision. Comme le dit le rapport de l'UNESCO, la culture a à voir avec les façons de vivre, avec les relations sociales. À cet égard, je suis entièrement d'accord que la ville et la campagne sont devenus des réalités de plus en plus interdépendantes, et qu’il est très difficile de parler de société rurale et, par conséquent, d'éducation rurale. Le nouveau centre symbolique dans les petits villages n'est plus l'église, la mairie, le palais de justice et les boutiques des commerçants, mais le terrain de foot, le drapeau, les églises évangéliques et les écoles... Quand nous rencontrons les maires, les autorités locales et des femmes liées à pouvoir local, nous constatons qu'il existe un écart très fort entre les sexes et c'est l'un des domaines où les moins de progrès ont été accomplis. Sur les dix maires interrogés, ce sont tous des hommes. J'insiste sur ce point parce que l'écart a beaucoup à voir avec l'école. Il y a des défis importants à venir, et peut-être le plus difficile d'imaginer une école qui n'est plus strictement rurale, mais étroitement liée à de nouveaux réseaux qui sont actuellement développés dans la campagne péruvienne. DES
JEUNES ENTREPRENEURS “Construire
mon entreprise” (José
del Águila- Collectif des Jeunes, Banda de
Shilcayo) Introduction Nous comme jeunes nous avons la capacité suffisante de procéder à tout projet productif, dans ce cas pour mettre en route une entreprise, oui c’est comme exemple je peux parler du groupe de jeunes, avec lequel nous créons le projet d'une boulangerie et dans la partie formation, des ateliers de danse typique. L’entité
composée du capital et du travail a comme but le profit et la responsabilité.
C’est l’unité économique et sociale dans laquelle le capital, le travail
et la
gestion se coordonnent pour parvenir à une production qui répond aux exigences
de l'environnement humain dans lequel l’entreprise opère. Caractéristiques
de l’entreprise Éléments
qui la composent
Une
Entreprise combine trois facteurs
Facteurs
actifs :
employés, propriétaires, syndicats, banques, etc.
Facteurs
passifs:
matières premières, transport, technologies, connaissances, contrats
financiers, etc.
Organisation: Coordination et ordre entre tous les facteurs et sphères.Facteurs
actifs
Les
personnes physiques et/ou juridiques ( entre autres, entités commerciales, coopérative,
fondations, etc.) qui constituent une Entreprise réalisant entre autres,
l’apport de capital (soit purement monétaire, soit de type intellectuel,
patentes, etc.) Ces personnes se transforment en actionnaires de l’entreprise. Ils participent au sens fort, au développement de l’entreprise.
Facteurs
passifs
Tous ce qui est utilisé par les éléments actifs y aide à poursuivre les objectifs de l’entreprise: comme la Technologies, les matières premières utilisées, les contrats financiers…Espaces fonctionnels
Organisation
hiérarchique et départementale d’une entreprise A l’intérieur d’une entreprise il y a différents départements ou sphères fonctionnels. Ils peuvent être joints ou séparés en fonction de la taille et du modèle d’entreprise Une
possible division est :
Une bonne gestion entrepreneuriale Les pratiques d’une bonne gestion d’entreprise varient énormément en termes de détail et d'application de pays à pays. Fondamentalement, leur objectif est de renforcer la confiance des actionnaires, des employés des acteurs économiques, et de la société en général. Les éléments essentiels d'une bonne gestion d'entreprise sont:
Une entreprise moderne Dans le cadre de son activité, l'entreprise moderne a produit incontestablement des avantages sociaux. En général, elle a fourni au public, un approvisionnement adéquat en temps opportun et une répartition plus efficace des biens et des services. Grâce à la diffusion du crédit elle a accru le pouvoir d'achat de vastes secteurs de la population et, grâce à la publicité, elle a fait connaître de nouveaux produits capables de répondre à leurs besoins. En outre, l'augmentation de la productivité et la production de masse ont permis la réduction des prix. [...] tout service que vraiment le gouvernement pourrait fournir de façon beaucoup plus efficace et morale par l’entreprise privée et les coopératives. Un diaporama PLAN DE TRAVAIL 2009 JARC SAN-MARTIN
Guilde Européenne. Ministère
des Affaires Étrangères de la France
Talents et Partage de la Société Générale. CAPIRONA – Investigación y
Desarrollo. Bureau de Zone du PDA (Proyecto de
Desarrollo Alternativo). Municipalité
Provincial de Bellavista.
ADJP (Association pour le Développement
de la Jeunesse au Pérou). Père Albert Saelens.
MI
EMORESA – Ministère du Travail et du
Logement A tous ceux qui ont participé, permettant
que cet atelier soit un succès.
L’équipe régionale
TROISIÈME Atelier de Formation de la Zone DE BELLAVISTA
PROJET
Formation
de responsables Rurales Le thème générale de cet atelier : Planifier et entreprendre une activité économique Il a débuté le samedi 8 Novembre à Bellavista à l'Institut supérieur de la fonction publique de Bellavista avec une allocution de bienvenue du Directeur régional Ivan Torres Huapaya . Ont
participé à cet atelier 30 jeunes des Bases Huingoyacu, Huacho, Mercedes,
Carhuapoma, Libertad, Dos-Unidos Valparaiso et Bellavista.
ESPRIT D'ENTREPRISE (Marianne Seehase - Capirona) Introduction. La
grande majorité des jeunes ici présents, étudient
ou travaillent que ce soit comme agriculteurs et comme indépendants
(moto-caristes) pour avoir un travail et de l'argent. Avec ces éléments nous
pouvons dire que la plupart des employeurs sont des petits entrepreneurs ou des
entrepreneurs qui ne le savent pas. Ce ces petits emplois on peut dire qu'ils
sont un pas pour prendre ses propres initiatives d'affaires. L'ORGANISATION
1. Qui est qui ?Autorité. La personne ou les personnes qui indiquent ce que d'autres doivent faire. Responsabilités. Obligation d'accomplir toutes les tâches assignées. Unité de direction. Unité d'administration, qui stipule que chacun a un seul chef.
3. Décentralisation. 4.
Communication. Elle dispose de 5 éléments: INFRASTRUCTURE . C'est concret, et majoritairement L’État ne le donne pas, cela peut être des meubles, etc. MACHINES ET OUTILS . Ce dont vous aurez besoin pour entreprendre toute activité de l'entreprise. RESSOURCES HUMAINES. Ce sont les personnes qui travaillent pour l'entreprise. RESSOURCES FINANCIÈRES (ARGENT). Sans lui, vous ne pouvez pas faire d'affaires, peuvent être empruntés ou donnés, et ainsi de suite. CONNAISSANCES.
Si la personne qui entreprend une entreprise ne connaît pas son sujet,
l'entreprise va échouer. TYPES D'ENTREPRISE
Les 5
«P» ·
Produit ·
Prix ·
Place ·
Promotion · Relations publiques
Exemple
5 groupes qui ont travaillé sur un exemple du type d'entreprise
LE
PLAN DE TRAVAIL (Cesar O. Suyón - Spécialiste du PDA Programme
Alternatif de Développement)
PLAN
DE TRAVAIL
Le travail de 4 groupes sur un plan de travail Nous remercions les diverses personnes et institutions qui ont contribué de diverses manières à cet atelier III dans la région - San Martín
TROISIÈME Atelier de Formation de la Zone San Martin
PROJET
Formation
de responsables Rurales Le thème générale de cet atelier : Planifier et entreprendre une activité économique Dans
ce troisième atelier de la Zone de San Martin participèrent 30 jeunes de Sauce,
Utcurarca et Machungo. Avec l’apport des jeunes, voici les 10 règles de vie
pour cet atelier
INITIATIVE ENTREPRENEURIALE ( Jelsen Heredia – Mi Empresa) Introduction Un entrepreneur est cette personne qui a une petite affaire que ce soit de vente de friandises, de nourriture, de boissons, etc., alors quand je commence à planifier comment vendre ou comment faire démarrer tel produit au marché ou comment attirer l’attention du public par tel ou autre produit, il me vient l'idée de chercher une stratégie. PETITS JEUX Connaître
mon compagnon Les
participants se sont organisés en deux colonnes parallèles pour qu'en se
tournant l'un vers l'autre ils puissent être face à face. On demande aux
participants de faire un résumé de leurs vies et de la raconter à leur
camarade d’en face, et ensuite d’écouter le résumé de la vie du compagnon
qui avant l'a écouté. Après ce temps ; chacun est invité à se mettre
en face de tous les participants pour exprimer le résumé de vie qu'il a
entendu de son compagnon. Survivre On remet des ressources (représentées ici par des bonbons) et comment vont-ils faire pour en échanger 3 pour avoir chacun une sucette pour survivre, en sachant qu'il n'y a pas assez de bonbons pour pouvoir réaliser l'échange Les jeunes mettent en place des stratégies pour réussir ( discussions, partages...) L'ENTREPRISE C'est
un groupe de gens qui au travers de l'administration de ses ressources, du
capital et du travail, produit des biens et/ou des services tendant à la
satisfaction des besoins d'une communauté. C'est un ensemble d'activités
humaines organisées afin de produire des biens ou des services.
DES
RESSOURCES Pour
qu'une entreprise puisse tenir ses objectifs, il est nécessaire qu'elle dispose
d'une série d'éléments, de ressources ou de facteurs de production qui
conjugués contribuent harmonieusement à son fonctionnement : 1.
Ressources Matérielles : Ce sont les
biens tangibles avec lesquels l'entreprise compte pour pouvoir offrir ses
services, tels que : a.
Des installations : des édifices, des machines, un équipement, des
bureaux, des terrains, des instruments, des outils, etc.. . b.
Matière première : les matières auxiliaires qui font partie du
produit, les produits du processus,
les produits finis, etc.. 2.
Ressources Techniques : Ce sont celles
qui servent comme outils et instruments auxiliaires dans la coordination des
autres ressources, Ils peuvent être : a.
Des systèmes de production, de ventes, de finances, administratifs,
etc.. b.
Des formules, des brevets, des marques, etc..
3.
Des ressources humaines : Ces ressources sont indispensables ;
puisque d'elles dépendent le maniement et le fonctionnement des autres
ressources. Les Ressources humaines possèdent les caractéristiques suivantes : a.
Une possibilité de développement. b.
Des idées, une imagination, une créativité, une habileté. c.
Des sentiments d.
Des expériences, des connaissances etc.. Ces
caractéristiques les différencient des autres ressources, selon la fonction
qu'elles dégagent et le niveau hiérarchique dans lesquelles elles se trouvent
elles peuvent être : des ouvriers, des employés de bureau, des superviseurs,
des techniciens, des exécutifs, des directeurs, etc.. 4. Ressources Financières : Ce sont les ressources monétaires propres et d'autrui avec lesquelles compte l'entreprise, a.
Ressources financières propres :
des espèces, des apports des partenaires (des actions), des profits, etc.. b.
Ressources financières d'autrui ; elles sont représentées par
:des prêts de créanciers et de fournisseurs, des crédits bancaires ou privés
et des émissions de valeurs, (des bons). DES
OBJECTIFS L'entreprise
au travers d'un patron va développer les objectifs désirés : 1
ÉCONOMIQUES : Tendant à obtenir des bénéfices monétaires pour : ·
Acquitter des
intérêts monétaires des investisseurs en rétribuant de justes dividendes sur
l'investissement réalisé. ·
Couvrir les
paiements aux créanciers par les intérêts sur les prêts accordés. ·
Maintenir le
capital à sa valeur. ·
Obtenir des bénéfices
augmentés des intérêts bancaires pour répartir des profits aux
investisseurs. ·
Réinvestir
dans la croissance de l'entreprise. 2
SOCIAUX : qui contribuent au bien-être de la communauté ·
Satisfaire
les besoins des consommateurs avec des biens ou services de qualité, dans les
meilleures conditions de vente. ·
Augmenter le
bien-être socio-économique d'une région après avoir consommé des matières
premières et des services et après avoir créé des sources de travail. ·
Couvrir, au
moyen des organismes publics ou privés, une sécurité sociale. ·
Contribuer au
soutien des services publics au moyen du paiement des charges fiscales. ·
Améliorer et conserver l'écologie de la région,
en évitant la contamination de l'environnement. ·
Produire des produits et des biens qui ne sont pas
nocifs au bien-être de la communauté. 3
TECHNIQUES : dirigés à l'optimisation de la technologie.
CLASSIFICATION des ENTREPRISES 1 PAR ACTIVITÉ : Les entreprises peuvent se classer selon l'activité développé :
·
Extractives; Ce sont celles qui
s'occupent de l'extraction de ressources naturelles, qu’elles soient
renouvelables ou non renouvelables. ·
Manufacturières : Elles
consistent à ce qu'elles transforment les matières premières en produits
finis et peuvent être de deux types : a.
Les entreprises qui produisent des biens de consommation finale b. Les entreprises qui produisent des biens de production.
a.
Grossistes : Elles effectuent des ventes à grande échelle à d'autres
entreprises et au détail. Un exemple : Bimbo, Nestlé, Jersey, etc.. b.
Vente au détail : Elles vendent des produits en grandes quantités ou à
l'unité que ce soit pour la revente ou à l’usage du consommateur final.
Exemple : Sams Club, Cosco, Smart et Final, et la Abarrotera de Tijuana. c.
Détaillants: Ils vendent des produits en petites quantités au
consommateur. Exemple Ley, Comercial Mexicana, Calimax, etc. d.
Commissionnaires : Ils vendent les marchandises que les producteurs
donnent en dépôt, en percevant pour cette fonction un gain ou une commission.
v
Services publics (communications,
énergie, eau) v
Services privés (services
administratifs, comptables, juridiques, assessorat, etc.). v
Transport (collectif ou de
marchandises) v
Tourisme v
Institutions financières v
Éducation Santé (Hôpital) v
Finances et assurances 2
SELON L'ORIGINE DU CAPITAL : Selon l'origine des apports de son
capital et du caractère vers qui ses activités se dirigent les entreprises
peuvent se classer en : a.
Publiques : Dans ce type d'entreprises le capital appartient à l'État
et en général son but est de satisfaire les besoins de caractère social. Les
entreprises publiques peuvent être les suivantes : Centralisées
: Quand les organismes des entreprises sont intégrés dans une hiérarchie dont
le Président de la République prend la tête directement, afin d'unifier les décisions,
le commandement et l'exécution. Exemple : Les secrétaireries d'État, les
Finances Nationale (Nafin) Déconcentrées : Elles consistent en ce qu'elles ont des facultés de décision limitée,
en ce qu'elles ont leur autonomie et budget, mais sans que leur lien hiérarchique
cesse d'exister. Exemple : l'Institut National de Beaux Arts. Décentralisées : Ce sont celles dont les activités se développent qui
dépendent de l'État et qui sont d’un intérêt général, mais dotées
d’une personnalité, d’un patrimoine, d’un régime juridique propre :
Exemple : I.M.S.S, CFE., ISSSTECALI, Banco de México. Étatiques
: Elles appartiennent complètement à l'État, elles n'adoptent pas la forme
externe de société privée, elles ont une personnalité juridique propre,
elles s'occupent d'une activité économique et se soumettent alternativement au
droit public et au droit privé. Exemple : les Chemins de fer, CESPT, DIF
Estatal, Issstecali.: Mixtes
ou para-publiques : Dans celles-ci existe la coparticipation de l'État
et des particuliers pour produire des biens et des services. Son objectif
consiste en ce que l'État tend à être l'unique propriétaire tant du capital
que des services. Exemples: PRODUTSA ( Promotrice de Développement Urbain de
Tijuana), Aéroports et Services Auxiliaires, Chemins et Ponts Fédéraux. b.
Privées : Le capital est la propriété d'investisseurs
privés et son but est 100 % lucratif. c.
Nationales : Quand les
investisseurs sont à 100 % du pays. d. Étrangères : Quand les investisseurs sont nationaux et étrangers. e.
Transnationaux
: Quand le capital est surtout d'origine étrangère et les profits se réinvestissent
dans leurs pays d’origine. 3
SELON LA GRANDEUR de l'ENTREPRISE : c'est l'un des critères les plus
utilisés pour classer les entreprises : petite, moyenne ou grande. De multiples
critères existent pour déterminer à quel type d'entreprise elles peuvent
appartenir tels que :
4.
D'AUTRES CRITÈRES A.
Critères Économiques : Selon ce critère les entreprises peuvent être :
B.
Critères de Constitution Légale : Conformément au régime juridique dans
lequel l'entreprise se constitue, celle-ci peut être : Société Anonyme, Soc.
à Responsabilité Limitée, Soc.
Coopérative, Soc. de Commandite Simple, Soc. de Commandite par Actions, et Soc.
de Nom Collectif. PRATIQUE
SUGGÉRÉE Avec les données de publication la plus récente
de la revue Expansion des 500 entreprises les plus importantes du Mexique, réaliser
une table avec 100 de celles-ci sans ordre d'importance, dans laquelle il faudra
déterminer :
PROCESSUS
de TRAVAIL (Cesar
Suyón O.Spécialiste du PDA Programme de Développement Alternatif) Un
Projet . C'est ce que je veux faire à long, moyen ou court terme, nous
planifions parce que nous manquons d'un produit et nous résolvons ce problème
au travers d'un plan. Ressources
économiques . Social, Naturel, Financier: Se grouper et faire un plan. Objectifs.
C’est l'action que nous voulons faire.
LE
PLAN DE TRAVAIL C’est
s’organiser, planifier pour atteindre un but. Nous voulons remercier les différentes personnes et institutions qui de différentes manières ont fait un apport pour la réussite de ce deuxième atelier de la zone - San Martín.
SECOND Atelier de Formation de la Zone DE PIURA
« La
place de la femme dans les organisations de base dans le cadre des Droits et de
l'Éducation ». Tel est le thème du second atelier de formation réalisé les 24 et 25 octobre 2008, développé au Centre de Formation Rurale en alternance au Centre Poblado la Pidedra, District de Catataos Bajo Piura. Ont participé les zones de Tambogrande et Bajo Piura, la zone de la Vallée du Chira pour des raisons de travail n'a pas pu participer. OBJECTIFS
Ce qu’on ressent à l'intérieur du mouvement c'est la participation limitée des femmes dans des responsabilités; cela suite à beaucoup de facteurs comme l'ignorance de la part des femmes qu’elles ont les mêmes droits que les hommes, l'imposition de certains patrons, la culture et l’éducation des petites filles ; les stéréotypes configurent remarquablement la problématique que vivent les femmes spécialement celles du milieu rural. C'est pourquoi la référence au le cadre légal des Droits de la femme continue d'être toujours un sujet qui doit être discuté et réfléchi. Par cette formation nous voulons que des femmes mais aussi des hommes se sentent engagés avec leur propre projet de vie, à partir des besoins de leur communauté et que par leur connaissance dans leur vie quotidienne elles assument la défense de leur place dans les espaces où interviennent des hommes et des femmes dans des rôles de dirigeant avec éthique et engagement pour leur village. Les
contenus développés
Méthodologie de travail
CONCLUSIONS Ces expériences de formation et d’échange d'expériences
aident bien à grandir comme personne, comme groupe et comme société. L'atelier a été bien planifié Chaque groupe réalisera des répliques pour qu’on respecte
les Droits des personnes selon la parité. Le prochain atelier doit avoir les mêmes caractéristiques
en ce qui concerne l’alimentation, le séjour et la mobilité étant donné
que nous sommes de lieux ruraux et surtout distants de la ville de Tambogrande. SECOND Atelier de Formation de la Zone San Martin
PROJET
Formation
de responsables Rurales Dans
ce second atelier de la Zone de San Martin participèrent 30 jeunes de Sauce,
Utcurarca et Machungo. Avec l’apport des jeunes, 8 règles de vie
de cet atelier
LES
DROITS DE LA FEMME
(Darik
AlvaradoVela Présidente de "Micaela Bastidas")
Introduction Les droits de l'homme sont les
conditions de vie de base de tout être humain en tout temps et lieu, quelque
que soit la race, la condition économique, le sexe, l’âge. Les Droits de
l'homme se basent sur la reconnaissance de ce que HOMMES ET FEMMES nous sommes
des personnes avec des droits égaux. La Femme pour être femme dans tout
les sens du mot n'avait ni voix ni droit de vote, surtout dans les siècles passés,
et c'est dans les années 50 qu'on nous a donné des droits dont nous jouissons
maintenant. NOS DROITS
Notre pays a aussi signé les Conventions Internationales suivantes :
LES DROITS POLITIQUES
Au Pérou, l’obtention du droit de vote pour les femmes a été remporté
après de grandes décades de débats où participèrent activement les femmes,
par exemple : En 1931 au Congrès on a amplement discuté le droit de vote des
femmes. La Constitution de 1933 a reconnu ce seul droit pour les élections
municipales, mais il n'a pas été exercé puisque les autorités locales étaient
désignés par le Pouvoir exécutif jusqu'à 1963. La Déclaration Universelle des Droits de l'homme et l'impulsion des
suffragettes féministes ont poussé le Pérou à reconnaître le Droit de vote
aux Femmes âgées de plus de 21 ans ou mariées de plus de 18 ans qui savaient
lire et écrire : Loi du 7 de septembre de 1955. Aux élections de 1956 des femmes ont participé pour la première fois
comme candidates et aussi comme électrices ;
ont été élues 1 Sénatrice et 8 Députées. La Constitution Politique de 1979 a réduit l'âge de la majorité de 21 à
18 ans et a reconnu le droit au suffrage universel à la population analphabète
formée majoritairement par des femmes, nous pouvons dire alors que, à partir
du 1980, on exerce dans notre pays le droit de vote : la seule condition requise
: être inscrit dans le Registre Électoral. LES DROITS CIVILES
RÔle des
Femmes dans l’Organisation (Darik
AlvaradoVela Présidente de "Micaela Bastidas") Introduction La JARC comme institution a déjà plus
de 20 ans d’existence au Pérou en travaillant avec beaucoup de jeunes dont
plusieurs d'entre eux sont de grands leaders politiques. Dans ce siècle la Femme accomplit un Rôle très important à l'intérieur de notre société et à l'intérieur de toutes les organisations, la femme maintenant n’est plus vue seulement comme instrument à procréer, ou avec le but d'être seulement secrétaire, maintenant les femmes sont aussi des LEADERS POLITIQUES, SOCIAUX RELIGIEUX, etc.. Les
jeunes en groupe sont invités à dire avec leurs mots le rôle de la femme dans
l'organisation. Elle doit savoir s'organiser en respectant la parité homme femme, sans oublier de faire prévaloir ses droits comme femme. Elle doit savoir exposer ses idées et porter le développement de tout le groupe. Elle doit communiquer aux autres l'esprit d'entreprendre. Elle doit être cultivée Nous voulons
remercier les différentes personnes et institutions qui de différentes manières
ont fait un apport pour ce premier atelier de la zone - San
Martín.
Premier Atelier de Formation de la Zone San Martin
PROJET
Formation
de responsables Rurales Dans
ce premier atelier de la Zone de San Martin participèrent 33 jeunes de Sauce,
Utcurarca et Machungo. Avec l’apport des jeunes, des règles que
les jeunes doivent suivre durant cet atelier
On
a rappelé le projet, qui est de développer des capacités et une habileté de
dirigeante pour les femmes du mouvement, en encourageant les pratiques de parité
homme femme. I
- IDENTITÉ par
Marianne SEEHASE de CAPIRONA La
conférencière a commencé par une brève analyse de l'identité qui est de se
mettre à penser qui je suis et ce que j'ai fait de ma vie. L'identité est en
constante évolution, par exemple un enfant élabore sa propre identité dans la
famille, puis à l'école et dans la société. L'identité est très personnelle, elle n'est pas statique, elle est en changement constant et se définit à l'intérieur même de son environnement. En groupes, les jeunes en partant de quelques symboles de leur région (paysage, animaux, plats locaux, fleurs, cultures etc.), devaient s'interroger sur ce qu'il dit de mon lieu de vie. LE CACAO 1.
Si la plante de cacao tu la soignes
depuis que tu la sèmes, elle se développe d'une belle forme, donnant de bons
fruits. Si tu ne la soignes pas, elle donnera de mauvais fruits. C'est pareil
avec nous, si nous croissons dans un bon environnement nous donnerons de bons
fruits. 2.
C’est important que cela nous aide à
réfléchir et à nous évaluer nous mêmes, en nous convertissant en bons
fruits pour la société. 3. Comme représentation ils ont fait un proverbe. "Le cacao qui croît dans une bonne terre … c’est comme l'homme qui donne de bons fruits”. L'OTORONGO 1.
C'est un animal qui vit dans la forêt
et représente la faune en danger d’extinction. 2.
Il accomplit un rôle spécifique dans
notre région parce qu’il ne permet pas la surpopulation d'autres espèces
pour maintenir les caractéristiques de la flore et de la faune. 3.
Comme représentation ils ont fait un poème
: "Otorongo
de ma forêt, par ta beauté que presque on ne te conserve pas, tu maintiens un
équilibre dans la chaîne alimentaire et tes belles taches sont symbole de ta
beauté et avec cela ton âme pure, tu conserves notre forêt sûre. Tes doux
regards par lesquels tu nous séduis et ces pattes et la bouche qui nous démontrent
ton adresse, elles sont l'arme parfaite pour chasser ta capture ". II
- ESTIME DE SOI
par
Marianne SEEHASE de CAPIRONA L’estime de soi passe par différents processus :
L’estime de soi c’est croire en soi même et chercher des solutions
devant une difficulté. Il y a trois types d’estime de soi : v
Manque d’estime de soi v
Estime de soi équilibrée v
Surestimation de soi Les jeunes ont fait des mises en scène de manière très
créative montrant qu’ils ont compris la différence entre les trois genres
d’estime de soi. La conférencière a mis cette phrase pour que les jeunes
voient l'importance de se connaître soi même. “Se connaître nous mêmes et nous aimer est un besoin… nous ne pouvons
pas vivre avec un inconnu” III - RESPONSABILITÉ DES FEMMES DANS L’ORGANISATION par Cristina Ramirez - Patricia Rivera JARC - San Martin On a commencé le sujet par un bref commentaire sur la reconnaissance de la femme. Un questionnaire Comme homme qu’est-ce que je me limite de faire ? Comme femme qui est ce que je me limite de faire ?
Nous rattachant au sujet de leadership, on a
expliqué que c'est un ensemble d'habiletés personnelles qu’on cultive par un
effort permanent et par la pratique de valeurs.
Le leader est celui qui guide, conduit et dirige un groupe humain, qui a
une vocation de service.
Il y a quatre types de leaders : Paternaliste, autoritaire, tolérant, démocratique. LE LEADER
De même on a
organisé la conclusion avec la participation de numéros artistiques des jeunes
en assumant les engagements pour faire la réplique dans leurs groupes et
communautés. Nous voulons
remercier les différentes personnes et institutions qui de différentes manières
ont fait un apport pour ce premier atelier de la zone - San
Martín.
Premier Atelier de Formation de la Zone Bellavista
PROJET
Formation de responsables Rurales Cette
formation s’est déroulée à Bellavista (Province de Bellavista) dès 8h30 le
samedi 17 mai et dimanche 18 mai, avec les mots de bienvenue de l'animatrice
Cristina Ramirez Solsol. A
cet atelier ont participé 33 jeunes de Huinguyacu, de Huacho, de Gracias, de
Carhuapoma, de Libertad, de Bellavista, de Val Paraíso, de Dos Unidos, de San
Isidro y de La Banda de Pishuayo. Chaque groupe de base devait envoyer quatre déléguées
motivées. Quelques
recommandations ont été faites pour rappeler l’engagement qui doit impliquer
chaque participant dans la formation qu'il reçoit dans cet atelier et pour
respecter les lieux. On
a rappelé le projet, qui est de développer des capacités et une habileté de
dirigeante pour les femmes du mouvement, en encourageant les pratiques de parité
homme femme. A
la suite de suggestions des conférencières des institutions alliées, il est
apparu souhaitable que quelques hommes soient là pour que les femmes se sentent
considérées, avec une grande estime de soi, et avec leurs droits, et que cela
soit discuté entre des hommes et des femmes. I
- IDENTITÉ ET ESTIME DE SOI
par
Marianne SEEHASE de CAPIRONA Identité
L’identité c’est se sentir vivant et actif, être soi même… La
recherche de l'identité est le sujet le plus important de la vie. L'identité
est le résultat de trois processus : biologique, psychologique et social,
lesquels sont en interaction ininterrompue avec toutes les parties et gouvernés
par une relation qui fait que chaque processus dépend des autres, ce qui
s’appelle « la physiologie de vivre ». En
conclusion, je m’identifie là où je vis, je m’identifie comme je vis, je
m’identifie par ce que je suis, ce que je fais (les activités que je réalise). Estime de soi L’estime
de soi c’est s’aimer soi même, s’auto évaluer, se connaître et s’aimer
malgré ses peurs. Puisque je m’efforce d’essayer de changer :
quelques-unes de mes caractéristiques sont bonnes comme d’autres sont
mauvaises. Si tu as une
bonne estime de toi, déjà tu trouves ta place dans ton environnement. Tu peux
être une personne leader capable d’accepter les critiques. Si ton estime de
soi est faible, cela ne veut pas dire que tu es condamné(e) à vivre avec peu
d’estime de soi, dominé(e) par ceux qui en ont plus. Tu es jeune en plein développement
de ta personnalité et ton
estime de soi peut s’améliorer.. Commentaire des jeunes à
la fin du thème “Nous
nous sommes sentis bien parce que c’est plus facile de critiquer les personnes
que de s’évaluer soi même. Il est important de se connaître pour
s’accepter tel que tu es pour pouvoir ainsi se confronter aux autres”. II - RESPONSABILITÉ DES FEMMES
DANS L’ORGANISATION
par Loidy Gonzáles du Conseil de
Concertation pour la Lutte contre la Pauvreté
Le leader est celui qui guide, conduit et dirige un groupe humain, qui a
une vocation de service.
C’est la personne qui utilise son pouvoir pour atteindre ses objectifs. Le pouvoir est la capacité d’influencer les personnes et les événements qui les concernent. Le leadership est un produit de le rencontre des savoirs personnels qui se
cultivent avec l’effort permanent de croissance personnel et la pratique de
valeurs. Il y a quatre types de leaders.
Un leader se fait en se formant.
Différence entre être Chef et être Leader
De
même on a organisé la conclusion avec la participation de numéros artistiques
des jeunes en
en
rappelant les engagements pour faire la réplique de la formation reçue dans leurs
groupes et communautés rurales. Nous
voulons remercier les personnes et institutions qui de différentes manières
ont apporté leurs concours pour ce premier atelier de la zone de Bellavista.
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